Lire l’article original ici Si Xavier Bettel a promis la tenue d’une tripartite avant la fin de l’année, la réunion entre gouvernement, syndicats et patronat pourrait bien s’avérer houleuse. Si ces derniers jours, OGBL, CGFP et OGBL pointaient le manque total de concertation de l’équipe Bettel avec les formations représentatives des salariés sur l’application (optionnelle) du CovidCheck en entreprises, cette fois c’est l’UEL qui hausse le ton. L’union des entreprises luxembourgeoises balayant les propositions du projet de loi 1858 signées du ministre du Travail, Dan Kersch (LSAP).L’union des entreprises luxembourgeoises (UEL) vient de signifier son désaccord avec le projet de loi envisageant de modifier les règles d’accès au chômage partiel ou de mise en place de plans de maintien dans l’emploi.
Si Xavier Bettel a promis la tenue d’une tripartite avant la fin de l’année, la réunion entre gouvernement, syndicats et patronat pourrait bien s’avérer houleuse. Si ces derniers jours, OGBL, CGFP et OGBL pointaient le manque total de concertation de l’équipe Bettel avec les formations représentatives des salariés sur l’application (optionnelle) du CovidCheck en entreprises, cette fois c’est l’UEL qui hausse le ton. L’union des entreprises luxembourgeoises balayant les propositions du projet de loi 1858 signées du ministre du Travail, Dan Kersch (LSAP).
Et l’organisation patronale de tancer le gouvernement qui se fait «le chantre du dialogue social à chaque occasion» mais qui, sur cette réforme substantielle du code du travail envisagée, n’a pas cru bon de devoir échanger avec les partenaires sociaux. Une discussion qui aurait pu avoir lieu pourtant, au sein du comité permanent du travail et de l’emploi. Bref, voilà le nouveau président de l’UEL, Michel Reckinger, fâché de constater ce manque de concertation.
Pourtant, le texte est loin d’être anodin. Il concerne notamment l’accès au chômage partiel. Ainsi, à l’avenir, le nombre d’heures éligibles au chômage partiel par salarié passerait de 1.022 à 1.714 heures. La mesure exceptionnellement accordée dans le cadre de la crise covid deviendrait alors pérenne si le projet de loi devait être voté en l’état.
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