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Paperjam « On est en train de se battre pour qu’il y ait le moins de casse sociale possible »

Découvrez l’article en entier en cliquant ici. Le confinement et la fermeture des commerces sont peut-être derrière nous, mais Nicolas Henckes n’en a pas terminé avec le coronavirus et son impact sur l’économie luxembourgeoise. Le directeur de la Confédération luxembourgeoise du commerce (clc) dit désormais «surveiller comme le lait sur le feu» les annonces de faillites, inévitables pour beaucoup de ses affiliés malgré les mesures d’aide du gouvernement.Le confinement et la fermeture des commerces sont peut-être derrière nous, mais Nicolas Henckes n’en a pas terminé avec le coronavirus et son impact sur l’économie luxembourgeoise. Le directeur de la Confédération luxembourgeoise du commerce (clc) dit désormais «surveiller comme le lait sur le feu» les annonces de faillites, inévitables pour beaucoup de ses affiliés malgré les mesures d’aide du gouvernement.
L’été est généralement une période propice au repos et à la réflexion. Mais j’imagine que ça ne sera pas votre cas après un printemps marqué par le coronavirus. Outre la tripartite de juillet, est-ce que la clc prévoit de travailler sur certains points dans les prochaines semaines?
On va surveiller les faillites comme le lait sur le feu: parce qu’il va y en avoir, selon les informations qui nous reviennent de nos membres et du terrain. Ce n’est pas pour rien qu’on a fait élaborer un guide – avec Arendt & Medernach – sur la gestion des faillites. On va entrer jusqu’en septembre dans des décisions très lourdes, à impact émotionnel énorme pour des petits patrons pour lesquels l’entreprise est souvent la construction d’une vie. J’ai vu l’un ou l’autre fondre en larmes à la simple évocation de devoir faire faillite et de devoir en informer ses équipes. On est en train de se battre pour faire en sorte qu’il y ait le moins de casse sociale possible. Je pense que c’est aussi ce qui facilite les relations et les discussions avec nos camarades des syndicats: je pense que nous sommes crédibles quant à notre volonté d’éviter la casse sociale. La clc va être là pour essayer d’accompagner ses membres, éviter un maximum de faillites, envisager toutes les aides possibles, et si ce n’est pas le cas, pour les aider à prendre les bonnes décisions. Et dans certains cas, il vaudra mieux une fin avec peur qu’une peur sans fin, comme le dit un dicton allemand.
Les commerces ont rouvert depuis le 11 mai maintenant. Quels sont les retours de vos membres sur la reprise des activités?
C’est assez mitigé : on s’attendait à un redémarrage progressif, mais pour certains secteurs, ça a été un petit peu plus lent qu’espéré. Il y a évidemment la crainte du déconfinement de la part des consommateurs, ça va mettre quelques semaines avant que tout le monde reprenne confiance et sorte normalement. Ensuite, il y a le fait que les restaurants n’ont pas déconfiné en même temps que les commerces: cela a coupé la fréquence dans les centres-villes, avec l’impact d’une clientèle qui était absente des rues, et forcément, on perd un peu l’achat d’impulsion. Et le dernier point, c’est l’importance du télétravail, qui reste élevée.
 
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