Lire l’article en entier en cliquant ici. Nicolas Henckes va laisser sa place de directeur de la clc en fin d’année, après quatre ans et demi de services. La confédération cherche donc son successeur, tandis qu’il souhaite se tourner vers un nouveau défi professionnel, a priori comme patron dans le secteur privé.Nicolas Henckes va laisser sa place de directeur de la clc en fin d’année, après quatre ans et demi de services. La confédération cherche donc son successeur, tandis qu’il souhaite se tourner vers un nouveau défi professionnel, a priori comme patron dans le secteur privé.
Un «nouveau défi professionnel». Voilà ce qui attend Nicolas Henckes , actuellement directeur de la Confédération luxembourgeoise du commerce (clc). Départ prévu pour le 1er janvier 2022.
«J’ai des pistes en cours, certaines très avancées, mais rien de signé», déclare-t-il. «Je cherche un poste de patron. Au Luxembourg ou à l’étranger. A priori, plutôt dans le secteur privé.» Nous n’en saurons pas plus pour le moment.
Lors de son transfert depuis l’Union des entreprises luxembourgeoises (UEL) en juin 2017, il avait déjà prévenu qu’il ne resterait pas plus de cinq ans. «Je n’avais pas l’intention de rester un lobbyiste toute ma carrière. J’ai l’ADN d’un patron, j’ai été formé à cela», rappelle l’ancien directeur général de la maison d’édition juridique Legitech.
Quatre ans et demi plus tard, il quittera la confédération patronale avec l’impression d’avoir mené à bien la mission qui lui a été confiée: réformer la clc, sous l’impulsion de son président Fernand Ernster.
Même si ce n’était pas l’objectif final, elle a permis «d’être prêt quand est arrivée la crise sanitaire». Depuis 2017, la clc a travaillé à un mode de gouvernance plus agile et au développement de service aux entreprises (formation, conférences, mais aussi assistance juridique, aide à la gestion financière, à la digitalisation, etc.) en recrutant des conseillers spécialisés. «La structure a plus que bien tenu le choc et s’est mise corps et âme au service de nos membres», touchés par le Covid-19. D’environ 1.500 à l’arrivée de Nicolas Henckes, ils sont aujourd’hui 1.700.
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