Lire cet article en entier sur Paperjam Plus d’un tiers des consommateurs dans le monde prévoient de diminuer le budget de leurs achats de fin d’année à cause de la pandémie, selon une étude globale d’EY. Les achats en ligne, pour les fêtes et même après, devraient continuer leur percée. Des tendances qui se confirment au Luxembourg.Plus d’un tiers des consommateurs dans le monde prévoient de diminuer le budget de leurs achats de fin d’année à cause de la pandémie, selon une étude globale d’EY. Les achats en ligne, pour les fêtes et même après, devraient continuer leur percée. Des tendances qui se confirment au Luxembourg.
Les commerçants, déjà bien touchés par la crise , pourraient ne toujours pas être en fête à Noël, selon une étude du cabinet EY. Il a interrogé 14.467 consommateurs dans le monde sur l’impact du Covid-19 sur leurs habitudes d’achat. «L’étude est globale, mais ce sont des tendances qu’on retrouve aussi au Luxembourg», indique une porte-parole.
42% des consommateurs prévoient de dépenser moins que l’an dernier dans les achats de fin d’année. En cause, baisse des revenus ou remise en question des dépenses. 40% des personnes interrogées ont vu leurs revenus diminuer pendant la pandémie et 60% réfléchissent «plus attentivement à la manière dont elles dépensent leur argent». Plus précisément, 41% des consommateurs disent avoir réduit leurs dépenses de produits non essentiels et 46% reportent l’achat ou le remplacement d’articles coûteux.
Claude Bizjak, directeur adjoint de la Confédération luxembourgeoise du commerce (CLC), relativise: «Je ne pense pas qu’il y aura une énorme conséquence», notamment sur l’achat de jouets pour les enfants. Mais si on fête Noël en effectif réduit «il y aura moins de cadeaux sous le sapin. Il faudra voir comment vont évoluer les règles, cela aura un impact direct sur la consommation et sur les commerçants».
En tout cas, Noël se préparera en ligne. Pour les 54% de consommateurs qui prévoient de participer à la saison des achats de fin d’année, 91% planifient de le faire, au moins à moitié, en ligne.
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(Écrit par Mathilde Obert)