Lire l’article en entier en cliquant ici. Le ministère des Classes moyennes devra vite trancher pour savoir si les prochains soldes peuvent être avancés, maintenus aux dates initiales, élargis ou… annulés. Pour l’heure, les commerces sont dans l’attente d’une réponse.Le ministère des Classes moyennes devra vite trancher pour savoir si les prochains soldes peuvent être avancés, maintenus aux dates initiales, élargis ou… annulés. Pour l’heure, les commerces sont dans l’attente d’une réponse.
Initialement, la date des prochains soldes était fixée du 24 juin au 25 juillet. Mais le covid-19 a mis son grain de sel dans l’activité commerciale depuis. Et c’est peu dire que les boutiques sont et vont être à la peine. Aussi, l’idée de revoir le calendrier des promotions est-elle dans l’air. «Au nom de la Confédération luxembourgeoise du commerce, nous avons alerté Lex Delles, le ministre des Classes moyennes, à ce sujet. Et l’on est impatient d’avoir sa réponse», signale Claude Bizjak, directeur-adjoint de la clc.
Aujourd’hui, de nombreux commerçants se retrouvent non seulement avec la collection printemps sur les bras mais sans liquidités pour se réapprovisionner, et proposer des nouveautés de saison. Avancer les soldes, et sans doute attirer par ce biais plus de consommateurs en magasin, permettrait donc de faire revenir un peu de cash dans des caisses bien vides. «Ce roulement des pièces proposées est effectivement essentiel pour pérenniser les activités. Ce cycle a été brutalement interrompu.»
Mais permettre aux marchands de casser les prix au plus vite ne serait pas forcément la solution la plus adéquate. Car il ne faut pas oublier que les magasins restent limités dans le nombre de clients pouvant être reçus dans les rayons (en fonction de leur surface de vente). «Créer l’attirance et ne pas pouvoir y répondre, en créant des files d’attente, serait contre-productif», souligne Claude Bizjak.
Lire l’article en entier en cliquant ici.