Lire l’article en entier ici Si elle est parfois critiquée, la grande messe de la surconsommation démarre ce vendredi. Et cette année, l’événement revêt une importance particulière. Car si les enjeux sanitaires sont grands en ces temps de pandémie, il pourrait limiter la casse du chiffre d’affaires des boutiques.Si elle est parfois critiquée, la grande messe de la surconsommation démarre ce vendredi. Et cette année, l’événement revêt une importance particulière. Car si les enjeux sanitaires sont grands en ces temps de pandémie, il pourrait limiter la casse du chiffre d’affaires des boutiques.
Surconsommation, gaspillage ou encore impact sur l’environnement, les promotions et prix bradés du Black Friday attisent les critiques. Bien que ces dernières restent d’actualité, cette année, les voix qui les portent ne semblent pas oser élever le ton face aux dommages collatéraux considérables de la crise sanitaire sur le commerce. Le climat, jusque-là au cœur des préoccupations des opposants à cette tradition américaine, semble littéralement être passé à la trappe.
Amazon reste en revanche plus que jamais dans le viseur, accusé d’avoir «profité de la pandémie» pour «augmenter ses profits» selon ses opposants. Les associations Attac et Rise for Climate ou encore déi Lénk entendent ainsi «faire payer» le géant américain. Mais si une manifestation est prévue ce vendredi devant le siège du groupe au Kirchberg, il semble néanmoins acté que le commerce en ligne fera partie des rares gagnants de la pandémie.
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(Ecrit par Anne-Sophie de Nanteuil)