01 – L’événementiel a été le premier secteur à être touché par le confinement, il sera également le dernier à en sortir. Comment le secteur a-t-il vécu ces moments ? Avez-vous travaillé ? Avez-vous réinventer ? Du jour au lendemain, notre chiffre d’affaires est tombé à 0 car organiser des événements était devenu impossible. Tous nos projets ont été annulés jusqu’au mois de novembre. Cette crise est la plus importante que nous n’ayons jamais connue ! Le volet positif est que cela a motivé les acteurs des différentes professions de l’événementiel à se fédérer au sein de la clc. Jusqu’à présent, nous avons identifié une bonne centaine d’entreprises qui sont invités à rejoindre la LEA (Luxembourg Event Association). En tant qu’agence, nous avons terminé quelques projets graphiques et nous avons travaillé sur des concepts événementiels digitaux. Il y a d’autres acteurs qui n’ont pas le volet graphique ou n’ont pas de compétences digitales. Ces derniers ne peuvent pas du tout travailler. D’une part, nous sommes confrontés à des clients qui sont obligés de communiquer. Pour ceux-ci, nous sommes en train de mettre en place des concepts virtuels très intéressants.01 – L’événementiel a été le premier secteur à être touché par le confinement, il sera également le dernier à en sortir. Comment le secteur a-t-il vécu ces moments ? Avez-vous travaillé ? Avez-vous réinventer ?
Du jour au lendemain, notre chiffre d’affaires est tombé à 0 car organiser des événements était devenu impossible. Tous nos projets ont été annulés jusqu’au mois de novembre. Cette crise est la plus importante que nous n’ayons jamais connue ! Le volet positif est que cela a motivé les acteurs des différentes professions de l’événementiel à se fédérer au sein de la clc. Jusqu’à présent, nous avons identifié une bonne centaine d’entreprises qui sont invités à rejoindre la LEA (Luxembourg Event Association). En tant qu’agence, nous avons terminé quelques projets graphiques et nous avons travaillé sur des concepts événementiels digitaux. Il y a d’autres acteurs qui n’ont pas le volet graphique ou n’ont pas de compétences digitales. Ces derniers ne peuvent pas du tout travailler. D’une part, nous sommes confrontés à des clients qui sont obligés de communiquer. Pour ceux-ci, nous sommes en train de mettre en place des concepts virtuels très intéressants.
02 – Est-ce que la technologie numérique peut proposer des solutions afin que certains événements puissent avoir lieu ? Quelle est la limite de la technologie ?
Le digital a beaucoup d’avantages et offre des possibilités que le live ne possède pas. N’empêche qu’avec le digital, on ne travaille qu’avec la vue et l’ouïe. Le digital nous ampute de 3 sens (le goût, le toucher et l’odorat). Le numérique est très intéressant pour des événements qui sont orientés transmission de savoir. Il peut enrichir l’événementiel grâce à son potentiel d’interactivité, sa large diffusion, un coût moindre. Mais, il ne peut jamais le remplacer complètement. L’événementiel vit de l’interaction humaine et des émotions. Nous croyons fortement que le face à face est essentiel à chaque entreprise pour pouvoir se développer, pour faire des affaires, pour ouvrir des portes, pour sensibiliser, pour motiver.
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